Le syndrome des ovaires polykystiques est une pathologie touchant environ une femme sur 10 et dont le diagnostic est souvent difficile à poser. Ce syndrome plutôt courant reste cependant bien mal connu et de nombreuses idées reçues ont la peau dure.
Faisons le point sur les préjugés les plus tenaces
“Le SOPK ne touche que les ovaires”
FAUX !
Le syndrome des ovaires polykystiques est une maladie hormonale dont les répercussions concernent tout l’organisme. Cette endocrinopathie est caractérisée par un taux augmenté d’androgènes dont l’origine peut être ovarienne ou centrale (au niveau du cerveau).
Les kystes ovariens sont donc un des nombreux symptômes de cette pathologie.
“Le SOPK forme des kystes dans les ovaires”
FAUX !
Le syndrome des ovaires polykystiques porte bien mal son nom. Contrairement à ce que l’on pense couramment, ce ne sont pas des kystes que l’on peut observer dans les ovaires mais une accumulation de follicules sous la surface de l’ovaire.
“Le SOPK ne concerne que les personnes en surpoids”
FAUX !
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